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| | Test | |
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Walan Seigneur de Meyrieu
Nombre de messages : 174 Age : 37 Localisation : Vienne Date d'inscription : 27/03/2007
| Sujet: Test Ven 3 Fév 2012 - 23:45 | |
| [Avant propos] *
- […]‘Je regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Monseigneur nous donne aura bonne grâce ici.’
- ‘Dans cette chambre ?’
- ‘Il nous la cède.’
- ‘Et moi je n'en veux point.’
- ‘Pourquoi ?’
- ‘Je n'en veux point.’
- ‘Mais encore ?’
- ‘Elle me déplaît.’
- ‘On dit une raison.’
- ‘ Si je n'en veux pas dire ?’
- ‘Oh ! quand elles sont sûres de nous’
- ‘Prouver que j'ai raison serait accorder que je puis avoir tort. Es-tu mon serviteur, ou non ?’
- ‘Tu prends de l'humeur contre la chambre du château la plus commode, et qui tient le milieu des deux appartements […]
[Préambule] (J’sais c’est la même chose !)
Après que les combats aient fait rage. Quatre licorneux ont eu l’autorisation de prendre congé le temps d’une journée afin de conduire une blessée en sa demeure. La scène se passe en Touraine dans le domaine de Maugasteau. Une brune, un brun, un barbu et une rousse vont se croiser et se décroiser dans les pièces juxtaposées à l’antichambre de la propriétaire des lieux. Qui a besoin de voir qui? Seul le dénouement de cette histoire pourra nous le dire…
[La rousse]
Alors qu’elle galopait à brides abattues dans les plaines tourangelles, donnant la possibilité à sa monture de se défouler un peu, son esprit à elle vagabondait… Que de souvenirs éparpillés ici est là au gré des missions qui lui avait fait fouler ce sol… Sol qu’elle avait l’impression de ne plus avoir quitté depuis des mois et des mois déjà, et pourtant ils en étaient tous partis pour mieux y revenir. Son dernier séjour avait eu un évènement marquant à bien des niveaux… La venue au monde de Merlin, et tout ce qui en avait découlé… Merlin fils de sa suzeraine qui avait failli trainer sa pauvre mère dans une tombe… Mais ce ne fut pas le cas et encore heureux !!!
Mais c’était lors de cet accouchement qui avait failli mal tourner, que quelque chose d’inexplicable sur le moment s’était produit, un rapprochement dont elle n’aurait pas imaginé qu’il puisse arriver un jour, ou du moins se reproduire… Là, tous les deux, si proches de perdre un être cher, si contemplatifs de la mort qui venait leur enlever celle qu’ils pensaient perdue, tout en essayant de faire en sorte que son dernier souffle ne la quitte pas… Sans un mot, un lien encore plus fort, du moins différent c’était noué, lien déjà vécu mais là les dimensions en étaient différentes. Lien déjà existant mais jamais perdu ? Juste enfoui pour mieux avancer dans la vie, sans se retourner sur celle de l’autre pour n’avoir aucun regret ni remord ? Peut-être… Toujours est-il que ce jour marqua un nouveau tournant dans leur vie à tous les deux.
La brune leur avait proposé de profiter de ce jour et d’aller un peu souffler en ses terres afin de se détendre complètement avant de ne devoir retourner à Chinon et enfiler les armures qui étaient leur lot quotidien. La rousse avait imaginé pouvoir parler à son amie, suzeraine, sœur, ‘fin toussa, toussa quoi… Oh sans doute allait-elle faire quelque chose de peu courant, mais en même temps qu’est-ce que la rousse faisait comme les autres ?
Donc ils étaient partis de bon matin, tous les quatre, et voyaient les abords de Maugasteau, alors qu’ils en foulaient ses terres déjà… Arrivés, on prit en charge leurs chevaux et le coche, puis la brune les invita à rentrer et à se rafraichir avec un bon verre de vin avant de prendre possession des pièces de la demeure et de se délasser dans un bain ou toute autre chose à leurs convenances… La journée se voulait simple mais légèrement festive en ces moments troubles. Juste quelques heures oublier les combats et tout ce qui les entouraient habituellement.
La rousse essayant de tout suivre dans les échanges et proposition faites, mettait en parallèle au point son plan tout en ne laissant rien paraitre, mais chose relativement difficile sachant que son nez malgré elle se mettait à tortiller montrant que sa réflexion était intense… Et son petit cerveau de continuer à échafauder comment coincer son amie rien que pour elle pour un moment plus ou moins court selon la tournure des évènements. Elle ne savait pas pourquoi mais elle pressentait que rien ne serait comme elle le voudrait et que cette simple demande allait prendre des proportions qu’elle ne maitriserait pas.
Elle porta le verre de vin à ses lèvres évitant ainsi de pousser un soupir qui aurait pu attirer l’attention des autres. Il fallait qu’elle chasse cette nervosité qui s’était emparé d’elle et qu’elle laisse l’histoire s’écrire comme elle devait l’être sans forcer plus que cela le destin, mais tout en lui donnant quand même un coup de pouce… Le sien ! Bah oui on n’était pas mieux servi que par soi-même n’est-ce pas ? Alors pourquoi pas aujourd’hui, maintenant. On lui avait toujours appris que cela ne servait à rien de remettre au lendemain, et des lendemains il y en avait eu plus d’un, espérant chaque jour que ce qu’elle allait faire un autre l’aurait fait, avant, à sa place… Mais rien, et pourtant ce qu’elle allait entreprendre ne la concernait pas elle seulement… Et, que ce qui allait en découler, elle n’était pas la seule à le vouloir…
Oui tout cela peut vous sembler bien flou pour le moment, mais il ne sert à rien de courir… Tout vient à point a qui sait attendre… Alors attendons.
*[extrait des noces de Figaro] | |
| | | Walan Seigneur de Meyrieu
Nombre de messages : 174 Age : 37 Localisation : Vienne Date d'inscription : 27/03/2007
| Sujet: Re: Test Ven 3 Fév 2012 - 23:45 | |
| [Avant propos] *
- […]‘Je regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Monseigneur nous donne aura bonne grâce ici.’
- ‘Dans cette chambre ?’
- ‘Il nous la cède.’
- ‘Et moi je n'en veux point.’
- ‘Pourquoi ?’
- ‘Je n'en veux point.’
- ‘Mais encore ?’
- ‘Elle me déplaît.’
- ‘On dit une raison.’
- ‘ Si je n'en veux pas dire ?’
- ‘Oh ! quand elles sont sûres de nous’
- ‘Prouver que j'ai raison serait accorder que je puis avoir tort. Es-tu mon serviteur, ou non ?’
- ‘Tu prends de l'humeur contre la chambre du château la plus commode, et qui tient le milieu des deux appartements […]
[Préambule] (J’sais c’est la même chose !)
Après que les combats aient fait rage. Quatre licorneux ont eu l’autorisation de prendre congé le temps d’une journée afin de conduire une blessée en sa demeure. La scène se passe en Touraine dans le domaine de Maugasteau. Une brune, un brun, un barbu et une rousse vont se croiser et se décroiser dans les pièces juxtaposées à l’antichambre de la propriétaire des lieux. Qui a besoin de voir qui? Seul le dénouement de cette histoire pourra nous le dire…
[La rousse]
Alors qu’elle galopait à brides abattues dans les plaines tourangelles, donnant la possibilité à sa monture de se défouler un peu, son esprit à elle vagabondait… Que de souvenirs éparpillés ici est là au gré des missions qui lui avait fait fouler ce sol… Sol qu’elle avait l’impression de ne plus avoir quitté depuis des mois et des mois déjà, et pourtant ils en étaient tous partis pour mieux y revenir. Son dernier séjour avait eu un évènement marquant à bien des niveaux… La venue au monde de Merlin, et tout ce qui en avait découlé… Merlin fils de sa suzeraine qui avait failli trainer sa pauvre mère dans une tombe… Mais ce ne fut pas le cas et encore heureux !!!
Mais c’était lors de cet accouchement qui avait failli mal tourner, que quelque chose d’inexplicable sur le moment s’était produit, un rapprochement dont elle n’aurait pas imaginé qu’il puisse arriver un jour, ou du moins se reproduire… Là, tous les deux, si proches de perdre un être cher, si contemplatifs de la mort qui venait leur enlever celle qu’ils pensaient perdue, tout en essayant de faire en sorte que son dernier souffle ne la quitte pas… Sans un mot, un lien encore plus fort, du moins différent c’était noué, lien déjà vécu mais là les dimensions en étaient différentes. Lien déjà existant mais jamais perdu ? Juste enfoui pour mieux avancer dans la vie, sans se retourner sur celle de l’autre pour n’avoir aucun regret ni remord ? Peut-être… Toujours est-il que ce jour marqua un nouveau tournant dans leur vie à tous les deux.
La brune leur avait proposé de profiter de ce jour et d’aller un peu souffler en ses terres afin de se détendre complètement avant de ne devoir retourner à Chinon et enfiler les armures qui étaient leur lot quotidien. La rousse avait imaginé pouvoir parler à son amie, suzeraine, sœur, ‘fin toussa, toussa quoi… Oh sans doute allait-elle faire quelque chose de peu courant, mais en même temps qu’est-ce que la rousse faisait comme les autres ?
Donc ils étaient partis de bon matin, tous les quatre, et voyaient les abords de Maugasteau, alors qu’ils en foulaient ses terres déjà… Arrivés, on prit en charge leurs chevaux et le coche, puis la brune les invita à rentrer et à se rafraichir avec un bon verre de vin avant de prendre possession des pièces de la demeure et de se délasser dans un bain ou toute autre chose à leurs convenances… La journée se voulait simple mais légèrement festive en ces moments troubles. Juste quelques heures oublier les combats et tout ce qui les entouraient habituellement.
La rousse essayant de tout suivre dans les échanges et proposition faites, mettait en parallèle au point son plan tout en ne laissant rien paraitre, mais chose relativement difficile sachant que son nez malgré elle se mettait à tortiller montrant que sa réflexion était intense… Et son petit cerveau de continuer à échafauder comment coincer son amie rien que pour elle pour un moment plus ou moins court selon la tournure des évènements. Elle ne savait pas pourquoi mais elle pressentait que rien ne serait comme elle le voudrait et que cette simple demande allait prendre des proportions qu’elle ne maitriserait pas.
Elle porta le verre de vin à ses lèvres évitant ainsi de pousser un soupir qui aurait pu attirer l’attention des autres. Il fallait qu’elle chasse cette nervosité qui s’était emparé d’elle et qu’elle laisse l’histoire s’écrire comme elle devait l’être sans forcer plus que cela le destin, mais tout en lui donnant quand même un coup de pouce… Le sien ! Bah oui on n’était pas mieux servi que par soi-même n’est-ce pas ? Alors pourquoi pas aujourd’hui, maintenant. On lui avait toujours appris que cela ne servait à rien de remettre au lendemain, et des lendemains il y en avait eu plus d’un, espérant chaque jour que ce qu’elle allait faire un autre l’aurait fait, avant, à sa place… Mais rien, et pourtant ce qu’elle allait entreprendre ne la concernait pas elle seulement… Et, que ce qui allait en découler, elle n’était pas la seule à le vouloir…
Oui tout cela peut vous sembler bien flou pour le moment, mais il ne sert à rien de courir… Tout vient à point a qui sait attendre… Alors attendons.
*[extrait des noces de Figaro] | |
| | | Walan Seigneur de Meyrieu
Nombre de messages : 174 Age : 37 Localisation : Vienne Date d'inscription : 27/03/2007
| Sujet: Re: Test Ven 3 Fév 2012 - 23:51 | |
| Marie était assise dans ce fauteuil, devant ce bureau et ces parchemins plein de comptes, depuis ce qu'il lui semblait être des heures. Normal elle détestait tout bonnement les chiffres et soupira pour la énième fois depuis 10 minutes avant de finir par repousser le dernier parchemin en criant.
WALAAAAAAAAAN.
Celui-ci était sorti à la suite d'Enguerrand, plus tôt, pour tenter de le rattraper afin de lui faire ladite demande mais l'avait perdu dans l'enfilade de pièces, tournant un peu en rond depuis jusqu'à ce qu'il entende le cri. Il se dirigea du coup vers la chambre, ou du moins là où il croyait qu'elle était, erra un peu mais finit par la trouver. Il frappa à la porte puis entra.
Hum, j'ai cru entendre une douce et tendre voix ..?
La brune leva les yeux vers lui quand, enfin, il ouvrit la porte. N'étant pas de très bonne humeur, forcément blessée et empêchée de faire ce qu'elle voulait, elle était toujours irritable.
Une voix je veux bien, douce et tendre j'ai des doutes.
Ah oui ? Pourtant il me semblait.
Sauf si ce n'est pas la mienne bien entendu.
Soupir.
Hum, c'était peut être ton frère alors, ça tombe bien c'est lui que je cherchais.
Tu cherches mon frère? Pourquoi faire? Et puis Enguerrand, douce et tendre voix, avec toi? Méfie-toi c'est qu'il est en colère alors.
Ah, euh, hum...
Il ne voulait pas lui annoncer avant d'avoir demander, du coup ...
Je voulais lui rendre ... Euh ... Son pichet.
Haussement de sourcil et regard, perplexe.
Son... Pichet.... Quel pichet? Et il est où puisque tu veux lui rendre?
Son pichet de vin voyons, m'enfin, quoi d'autre ?
Elle se pinça l'arrête du nez entre son pouce et son index, sentant l'explication foireuse.
Parce qu'il a un pichet de vin... Qu'il t'a prêté... Pour?
Il ne me l'a pas prêté, il l'a oublié. Pour boire, pour quoi d'autre ?
Hum... Et tu penses que s'il a soif il ne pourra pas soit retourner le chercher, soit demander à boire à un serviteur, soit aller en chercher en cuisine? Hum?
Oh et bien on ne sait jamais ... Il pourrait très bien y tenir, à son pichet.
Oh ben oui. tu penses.... On ne sait jamais en effet. et puis c'est incroyable que tenant à ce point à cet objet, je n'ai pas souvenir de cela dans ses affaires. Si mon frère me cache son pichet, où allons-nous?
Oh, ça je te laisse voir avec lui, ce n'est pas à moi de me mêler de ça.
Petite toue gênée histoire de noyer le poisson.
Mouais.... Et bien désolée de ne pas être mon frère hein. Ceci dit tu me diras quand même où il est ce pichet... Des fois que je le croise en pleines recherches, la mort dans l'âme et les larmes aux bords des yeux.
Oh ?
Le brun regardant ses mains se rendit compte qu'il n'avait aucun pichet à montrer.
Mince, je l'ai oublié dans la salle.
Tu fais un fameux rapporteur d'objet....
Sourire en coin, tapotement des doigts sur le bois.
C'est qu'il est parti vite, et comme je voulais lui parler il a bien fallu que je me dépêche.
Lui parler? De quoi donc? Je croyais que tu le cherchais pour lui donner son pichet.
Oups, la boulette, vite trouver une parade.
Lui parler ? Et bien du pichet voyons.
Du pichet que tu n'as pas pris. Bien sûr. pour ça que tu t'es dépêché.... Oui oui oui....
Voilà, tu as compris ... Et à part ça, tu appelais ..?
Toi.
Oui, ça j'avais compris, mais pour ..?
Parce que j'avais envie de te voir? D'un baiser? Que si je continue à lire une ligne de chiffres je vais exploser?
Oh ?
Il s'avança, se pencha pour lui voler un baiser.
Comme ça ?
Moui.... Bah j'aimerai mieux un plus long....
Walan l'embrassa plus longuement avant de se redresser.
Alors, l'explosion s'éloigne ?
Lentement... Mais un peu oui. Un sourire. Que penses-tu de l'endroit?
On s'y perd ...
Ah? Tu trouves? Moi pourtant non... M'enfin tu me diras moi je ne peux pas bouger seule alors....
Et de grommeller.
Ca aide.
Accompagné d'un fin sourire pour lui et d'un regard en coin pour elle.
Mouais... Si tu veux on échange hein | |
| | | Walan Seigneur de Meyrieu
Nombre de messages : 174 Age : 37 Localisation : Vienne Date d'inscription : 27/03/2007
| Sujet: Re: Test Sam 4 Fév 2012 - 17:50 | |
| Mouais... si tu veux on échange hein
Hum, tu me soignerais, prendrais soin de moi, et tout ça ?
Avec l'aide des médecins et entre deux rondes et deux combats...
Grumf
Ce n'est pas ce que tu fais? hum?
Certes , convint-il avec un autre bougonnement.
Alors? on échange?
Hum, non, ça ira je pense ...
Se penchant à nouveau, il vola encore un baiser à la brune
Bon et bien, je vais repartir à la recherche de ton frère, si tu veux bien
Ah. déjà. je vois.... tu t'ennuies avec moi puisque je suis blessée.
M'enfin non !
Alors pourquoi files-tu si vite?
Et bien, je te l'ai dit, il faut que je parl... rende son pichet à ton frère
Pichet que tu n'as pas.
Le regard qu'elle lui jeta était clairement suspicieux.
Oh oui et bien il va falloir que j'aille le rechercher alors
Ou que tu envoies un serviteur le faire?
Oh, un serviteur ? Non ... je ne vais pas déranger un serviteur pour ça voyons.
Déranger un serviteur pour aller chercher un pichet.... ahem... dis-moi Walan, chez toi ils servent à quoi?
A servir, quelle question !
Hum... et appeler un serviteur pour servir à amener un pichet à mon frère c'est le déranger.
Et bien, oui, je suis sûr qu'ils ont des tâches bien plus importantes à faire. Venir t'aider, préparer le repas, tout ça
Ils sont assez nombreux pour cela. je vais t'en appeler un.
Elle commençait déjà à ouvrir la bouche qu'il répondait vivement en grommelant.
M'enfin je t'ai dit non. Je vais le faire, grmbl
Pourquoi donc?
Parce que j'y tiens.
Tu tiens absolument à courir après mon frère pour un soit disant pichet auquel il pourrait sans doute tenir plutôt qu'à rester avec moi, la femme que tu aimes et qui a failli mourir.... bien. je t'en prie, la porte est là, lui j'ignore où il se trouve.
Je reviendrais très vite, ne t'en fait pas, mais c'est une question cruciale.
Bah tu penses. Un pichet de vin. C'est crucial.
Parfaitement, un pichet de vin c'est crucial et ce n'est pas une Bourguignonne qui me prétendra le contraire, grumf
Sauf qu'on est en Touraine et qu'il y en a plein partout. mais va je t'en prie, puisque c'est si crucial pourquoi perds-tu ton temps à me parler?
Je reviens au plus vite, et nous pourrons alors fêter cela.
Et oups, encore, décidément.
Fêter le rapprochement de mon frère et de son pichet? Oh ben oui tu penses
Hum, oui voilà
Je vais commander un festin rien que pour ça.
Parfait ! Ce sera vraiment nécessaire. Hum, il vaudrait mieux l'ordonner tout de suite, pour que tout soit prêt à temps.
Le regard de la brune commençait à arborer une lueur verte de mauvaise augure fixée droit sur le brun.
Mais je t'en prie, quand tu auras croisé un serviteur, demande-lui de faire sonner la corne de brume pour mettre tout le castel en émoi afin que la fête soit plus folle et qu'ils prévoient gras. et grand.
M'enfin, c'est à la maîtresse de maison de faire tout ça.
La maitresse de maison ne peut pas bouger. tu te souviens?
J'ai cru ouïr que tu avais ... une bonne voix
Toussotement, sachant bien qu'elle n'apprécierait pas cette fois ... comme l'indiqua le regard foudroyant qu'elle lui jeta.
BERTOOOOOOOOOOOOOOOLD
Il était assez clair que Marie espérait bien avoir ruiné les tympans du brun pour la peine, provoquant un vague Humpf un brin indigné tandis qu'il se frottait un peu l'oreille. Marie, elle l'ignora à partir de là et prit un parchemin qu'elle se mit à lire.
Sur une légère moue, navré de l'avoir fâchée alors que son but est de la surprendre avant de lui faire plaisir par l'annonce qu'il lui ferait en revenant, Walan reprit :
Je reviens, rapidement, et tu verras que nous aurons vraiment à fêter
Et à Sans repos de se diriger donc vers la porte à la recherche d'Enguerrand, tandis que Marie ne lui répondait pas et semblait se retenir de grogner un bon coup. | |
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